C'est un scandale. Scandale national. Le Premier ministre Mitsotakis a signé un accord avec la FIFA et l'UEFA pour réformer le football grec, dit-il. Qu'est-ce que cela signifie?
- Que les étrangers, comme le reconnaît la partie grecque, s'intéressent au fonctionnement normal du football en Grèce, ainsi que le gouvernement.
- Que le gouvernement grec est incapable de gérer les rigueurs de la plateforme et l'attrait des gros actionnaires et a besoin du facteur étranger.
Le scandale n'est pas que Mitsotakis ait accepté un tel mémorandum, qui réduit le pays au niveau international, mais qu'il a été contraint de le faire par l'incapacité de la machine d'État à intégrer le football de manière harmonieuse dans la société.
Allons un peu plus loin. "Mitsotakis - de sa propre initiative - demande la couverture des" principes "internationaux du football, afin que la caprilla grecque ne considère pas qu'avec sa propre intervention en coulisses les cloches sonneront demain au PAE, pour ceci et pour l'autre" irrégularité".
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