Famille avec Delije…

Porte 7, les organisateurs olympiques sont une famille avec les Delije, les organisateurs de l'étoile rouge. Les supporters grecs et serbes des deux équipes se sont "jumelés". Ils veulent la victoire ce soir sur le terrain, hommes et femmes, mais ils ne vont pas être maudits, aplatis. La désapprobation des joueurs de l'Olympiacos, dès qu'ils entreront en contact avec le ballon, sera faite. C'est autre chose.

Une autre équipe, une autre la porte de ses partisans. Un autre est le communisme, un autre est le KKE. Le communiste est un idéologue, probablement pas exprimé par le parti. Après tout, il y a beaucoup de partis communistes en Grèce.

L’autre équipe et le PAE d’aujourd’hui de Marinakis, le Kokkalis d’hier, sont un autre. Une autre équipe, un autre maillot, qui est une idée, religion, amour, et un autre le footballeur, passant, hier ailleurs, demain avec un autre maillot. Pour les supporters, l’équipe joue sur le terrain, son maillot, pas le joueur de football. Ça n'existe pas. Il n'est là que pour se battre pour la victoire de l'équipe, pas pour son côté.

Marko Marin, un Allemand de Bosnie d'origine béarnaise originaire de 30, a joué au football professionnel dans huit équipes (8) avant de se rendre aux Jeux olympiques. Aujourd'hui, le maillot Red Star sera l'adversaire. La star de la Serbie est Kania de PAOK, Garcia de Mars et Ben d’Olympiacos. Ancien entraîneur de Panionios Milojevic, qui a joué au ballon à Ioannina, Kalamata, Panathinaikos, Apollo, Heracles.

Panathinaikos joue au basket avec l'étoile rouge de Belgrade et avec les fans serbes fanatiques sont le gabbro. Les paoktsis organisés sont de la même famille que les hooligans du Partizan Belgrade. Le jumelé.

Il n'y a cependant pas de jumelage. Il y a le «sentiment» dominant de rivalité qui caractérise le fan. Il n'est pas tant en faveur de sa propre équipe que contre celle qui a été désignée adversaire dans l'histoire. La rivalité nourrit le fan, pas l'amour pour son équipe.

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