modèle...

C'est une triste situation qui a été créé dans OFI. Affligeant et triste à bien des égards, peu importe où vous le regardez. Et nous parlons spécifiquement d'OFI, une équipe qui, si vous regardez bien, est un modèle de premier ordre. Un exemple à suivre si l'on veut voir un jour le football grec échapper à la misère suprême. Si nous voulons revoir des stades pleins, une ligue compétitive, des batailles de football intéressantes qui feront à nouveau du ballon la deuxième meilleure chose de notre vie.

Et pourquoi OFI n'est pas un cas aléatoire, mais modèle? Parce que ce qui se passe à Héraklion n'est pas quelque chose de commun en Grèce. Là-bas, les Héraklionites en grand nombre ne sont pas des Panathinaikos et des Olympiens. Pas même les fans d'AEK et les fans de PAOK ou d'Ariani. C'est OFI. Cette. Même quelques centaines d'Ergotelis ou de Poatsides. Mais la grande majorité sont OFI, et ils remplissent le Gendi Kule, un stade construit non pas dans le tissu de la ville, mais enchevêtré et tissé dedans. Avec les maisons adjacentes à 3-4 mètres du mur de la plate-forme. Laissez l'arrière central s'éloigner et envoyez le ballon dans votre salon !

OFI n'est pas fondamentalement anti-Panathenaikos. Non. Et que quelque chose comme ça sorte de la haine émise par beaucoup. Non, OFI a eu un ennemi pendant des années, la famille Vardinogiannis. Si vous me demandez mal, mais c'était la réalité. Les relations entre les deux groupes sont indéniables. Aucun joueur n'est parti pour un autre endroit si PAO le voulait. Et celui qui s'est retrouvé à Leoforo à Héraklion en descendait souvent. Et juste comme ça, cependant, les succès sont venus. Les classements dans les cinq premiers, les finales de coupe, l'Europe et l'Atlético, le panthéon du football d'Héraklion. C'est pourquoi je dis "mal" les OFITzis ont calomnié les Vardinogiannis. Ils devraient changer d'avis, les convaincre qu'il est l'enfant dans lequel il vaut la peine d'investir, et non les emporter avec des pierres. Mais de toute façon, c'est ce qu'ils ont jugé et c'est ce qu'ils ont fait.

Aujourd'hui, enfin, OFI est celui pris au piège et son avenir compétitif mutilé par ses propres enfants. De Samarades qui n'avait pas du tout de bonnes options pour constituer l'équipe cet été. Et les déçus maudissent qu'il ne remettra jamais les pieds sur le terrain. MOLLUSQUES ! L'OFI a maintenant besoin de soutien. Comme disent les copains de l'équipe, OFI dans le facile, OFARA dans le difficile. Et si les difficultés d'Héraklion duraient 230 ans ? Et que 30 gardent 40 ! OFI est toujours l'équipe de la ville, le cœur d'Héraklion. Et cela ne change pas.

Et enfin. Que tous les fans de football de la province oublient Panathinaikos et Olympiacos et AEK et PAOK et Aredes. Et les habitants d'Agrinio doivent d'abord et SURTOUT devenir pan-italiens. Et les Tripolitsiotes respectivement, Asters et Panarkadiki, les Patrinos pour rendre la monnaie pour Panachaiki et les Larissai pour AEL (là la situation est similaire à Héraklion même si l'équipe souffre administrativement depuis des années). Seulement comme ça, quand l'Olympiacos joue à Ioannina avec 10.000 20.000 personnes hostiles dans le stade et le Panathinaikos à Volos avec 10.000 XNUMX Volians à Panthessaliko ou l'AEK contre XNUMX XNUMX supporters rivaux à Livadia. Ce n'est qu'alors que l'on peut être optimiste quant à l'avenir du football grec.

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