Quatre vitesses…

Si vous avez dit quelques-uns avant années qu'Aris sera tiré au sort dans un tournoi européen pour affronter Astana et non seulement il sera le grand outsider mais il sera à moitié exclu du premier match, ils vous passeront par les cailloux. Et pourtant, le moment venu, une équipe grecque, en fait l'une de celles qui ont annoncé l'invincibilité et les maillots lourds en Europe, n'est même pas une taille européenne petite-moyenne. Et ce n'est ni l'exception ni l'âme en tout cas de l'équipe Mars et de son planning. Ce n'est qu'un des phénomènes qui prévalent maintenant dans le football grec et qui se sont combinés avec l'improbable. Après 2004, le moment le plus important de l'histoire du football grec, non seulement cela n'a pas saisi l'opportunité d'aller plus loin, mais a d'abord fait un pas de plus et au-delà était le fossé de la falaise.

Panathinaikos entre les mains de Jovanovic cherche à revêtir à nouveau son manteau européen. Pour mettre le costume qu'il portait quand tout le monde l'appelait ambassadeur. Avant que cela ne devienne une blague, le meilleur client de Lamia et d'autres équipes, ce qui n'a même pas été vu par un vieux joueur sérieux du Panathinaikos.

Et comme tu montes plus haut la chose ne s'améliore pas. Du moins pas vraiment. Car en allant, disons, au camp de l'AEK, vous voyez une équipe qui au moins financièrement n'a rien à voir avec le Panathinaikos d'Alafouzos ou Aris de Karypidis. Et pourtant, ses principales préoccupations en matière de transfert sont le retour de Livagia, l'éternel sujet d'Araujo et de cet homme bon appelé Vranies. Et tout cela à quelques mois de votre entrée dans son nouveau stade. Où vas-tu, tigre, avec Vranies à Agiasofia ? Les fondations pleureront…

Et seulement dans camp des amis éternels et impies, les choses de Savvidis et Marinakis sont au moins meilleures. Pas grand chose, mais clairement mieux. A un point qu'on se demande ce qu'il faut faire pour changer le cours de l'histoire, renforcer au moins deux des trois équipes citées plus haut et arrêter d'avoir un championnat à quatre vitesses. Parce que cela a quatre vitesses. Les deux premiers, deux trois derrière eux, les autres 4-5 qui se battent pour quelques places au soleil et tous les autres pour donner le combat pour la survie en faveur de tout. Comment; Soit attachés à un char, soit faisant rire le monde entier, Europe et Asie, de leurs résultats.

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